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Le film de la marche pour le climat, à Saint-Malo
Le 30/03/2021
Pour celles et ceux qui n'auraient pu venir et aussi pour écouter avec attention les interventions des différentes organisations.
Un extrait des moments forts de la marche pour le Climat de samedi 27 Mars à Saint-Malo.
Signez et faites signer la pétition contre "les citoyens référents" à Saint-Malo
Le 25/03/2021
La coordination a décidé de faire circuler une pétition contre la mise en place de "citoyens-référents" par la municipalité de Saint-Malo
Elle sera remise au maire au cours du prochain conseil municipal.
Téléchargez le formulaire, recueillez des signatures dans votre entourage ou participez à sa diffusion lors des manifestations et évènements à venir.
2021-03-25-petition.pdf (261.69 Ko)
Et aussi signature en ligne sur change.org
Loi sécurité globale, une pétition adressée aux sénateurs sénatrices d'Ille et Vilaine
Le 23/03/2021
A l'appel du Club de la presse de Bretagne, des sections rennaises de la Ligue des Droits de l'Homme, Attac, Europe Ecologie Les Verts, Amnesty International et le SNJ-CGT, la coordination rennaise Stop loi Sécurité globale lance une lettre ouverte aux sénateurs.trices d'Ille-et-Vilaine afin de permettre aux citoyen.ne.s d'interpeler leurs élu.es.
Cette lettre et les signatures récoltées en ligne et sur les marchés du département seront remis avant le 18 mars, jour du vote de la loi au Sénat, en mains propres ou par voie postale aux sénateurs d'Ille-et-Vilaine : Françoise Gatel, Dominique de Legge, Sylvie Robert et Daniel Salmon. Si vous le souhaitez, vous pouvez également télécharger la lettre en bas de page et l'envoyer individuellement à votre élu.e.
Pour lire le texte de la lettre pétition cliquez ICI
Une déambulation pour une vraie loi climat, samedi à Saint-Malo
Le 23/03/2021
Unis pour le Climat Saint-Malo
et la "Convention citoyenne pour le climat"
appellent à une manifestation Samedi 27 Mars,
pour exiger une "vraie loi climat".
Elle prendra la forme d'une déambulation qui partira à 14 h 30 de la place Bouvet (Mairie de Saint-Servan) et s'achèvera sur l'esplanade Saint-Vincent (Intra-muros).
La coordination le "Monde d'Après" ne peut se tenir à l'écart de cette initiative. Elle relaie donc cet appel à manifester pour dénoncer les manœuvres du gouvernement et de la majorité visant à brider le débat parlementaire et à limiter l’impact des travaux de la convention citoyenne.
Au delà, la coordination conduira un débat sur l'intérêt et les limites des propositions législatives élaborées par la convention citoyenne avec les organisations et citoyen.ne.s non affilié.e.s, avec pour objectif de définir sa position sur les questions d'environnement et de lutte contre le changement climatique
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Le premier numéro de la revue "Pays" dresse un portrait aiguisé du territoire Malouin
Le 23/03/2021
Lancée à l'initiative de Marion Boquen, "pigiste pasionnément Bretonne" et Malouine de cœur depuis sa tendre enfance, la nouvelle revue "Pays" consacre sa première édition au Pays de Saint-Malo.
Que se cache-t-il derrière l'image rêvée de la station balnéaire, repaire de corsaires ? Avec de longs articles, résultats d'une enquête journalistique rigoureuse, la revue tient sa promesse. En abordant d'emblée "les ombres au tableau". Comment la ville a tenté de masquer l'action peu glorieuse des armateurs négriers ? Comment l'économie touristique pèse sur l'accès au logement et le bien être des habitants ? Comment la ville et la TIMAC, principal industriel du territoire, entretiennent des relations tendues ? Comment le barrage de la Rance a modifié profondément l'écosystème ?...
L'orientation écologiste de la revue est marquée ainsi que la volonté de mettre en valeur une dynamique culturelle pas toujours perçue par les malouins malouines.
Certain reprocheront le prix élevé de l'ouvrage (29 €), mais c'est oublier un peu vite l'économie d'une presse indépendante de qualité. Pays fait appel à des journalistes, photographes, graphistes illustrateurs professionnels qu'elle s'engage à payer au juste tarif. La maquette et l'impression sont particulièrement soignés.
Nous encourageons celles et ceux qui le peuvent à acheter et prêter la revue. Elle devrait bien sûr être accessible à la médiathèque. Le préfinancement des numéros de la revue est fait par financement participatif*.
On trouve la revue chez les bons libraires de la ville :
L’Odyssée, 4 rue du Puits aux Braies, Intra-muros
Le Cabestan, 2 rue Porcon de la Barbinais, 35400 Saint-Malo, Intra-muros
La Maison Générale, 6 rue Saint-Thomas, 35400 Saint-Malo, Intra-muros
La Droguerie, 66 rue Georges Clemenceau, Saint-Servan
Pages et images, 74 rue Georges Clemenceau, Saint-Servan
Le porte-plume, 78 rue Georges Clemenceau, Saint-Servan
L’Étagère, 20 rue Gustave Flaubert, Paramé
* Pays éditera deux revues par an. La prochaine sera consacrée au Vercors.
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"La rue kichante" célèbre le 150ème anniversaire de la Commune de Paris
Le 19/03/2021
Sur l'agora de la médiathèque, jeudi 18 Mars 2021, la chorale "La rue kichante" invitait les malouin.e.s à se remémorer et célébrer en chantant la Commune de Paris.
Le monde d'après, dans Ouest France
Le 16/03/2021
Suite au rendez-vous de presse de Samedi pour présenter la coordination, un papier de Nadine Paris dans Ouest-France d'aujourd'hui mardi.
Loi « Sécurité globale » : un film documentaire
Le 15/03/2021
Loi « Sécurité globale » : un film documentaire pour décrypter trois points sensibles
Un film réalisé par trois équipes universitaires : Karine Parrot, CY Cergy Paris Université, Lucie Cluzel, Université Paris Nanterre – Université Paris Lumières, Ludivine Richefeu, CY Cergy Paris Université, Noé Wagener, Université de Rouen Normandie, Raphaële Parizot, Université Paris Nanterre – Université Paris Lumières.
Une émission en direct sur les réseaux sociaux
Le 15/03/2021
La Coordination nationale #StoploiSécuritéglobale attaque cette semaine capitale en réalisant une émission en direct sur Twitch, Facebook et Youtube, diffusée lundi,à 21 h. Pour la voir ou la revoir.
Appel à manifester, Samedi 20, à Saint-Malo
Le 13/03/2021
LOI DE SÉCURITÉ GLOBALE, LOI SÉPARATISME, CITOYENS RÉFÉRENTS…
NOUS N’ACCEPTONS PAS CES ATTEINTES Á LA DÉMOCRATIE
La coordination « Le Monde d’Après* » du Pays de Saint-Malo s’est engagée dès sa création pour la défense des libertés démocratiques sérieusement menacées par les initiatives de l’actuel gouvernement en matière de sécurité publique. C’est ainsi qu’elle s’est mobilisée dès le 1er mai 2020 pour la défense du droit de manifester, mis en cause par l’actuelle gestion de la crise sanitaire qui entrave l’organisation des rassemblements ou des manifestations.
La plus récente édition de ROUGE EMERAUDE
Le 05/03/2021
Accédez à la dernière édition de ROUGE EMERAUDE, la revue malouine du NPA, membre de la coordination.
Lettre ouverte de la LDH au Maire de Saint-Malo au sujet des "citoyens référents"
Le 04/03/2021
La section de Saint-Malo de la LDH (membre de la coordination) a adressé une lettre ouverte au Maire de Saint-Malo qui a été publiée dans la presse locale. La Ligue s'inquiète des dérives possibles de ce dispositif et de ses conséquences sur les libertés publiques. Elle regrette l'absence de débat avec la population, les associations, les comités de quartier.
Pour lire l'intégralité de la lettre et la partager, télécharger le fichier PDF lettre-ouverte-ldh-citoyens-re-fe-rents-mairie-sept-2021.pdf (133.13 Ko)
Les mesures liberticides prises depuis l’élection du président Macron en 2017
Le 04/03/2021
Dans le cadre d'une Intervention publique prononcée à l'occasion du rassemblement organisée à Saint-Malo le 28 novembre contre le projet de loi « Sécurité globale » Charles Maurices de "Solidaires 35 Pays Malouin" a établi - au nom de la coordination, la Liste des principales mesures liberticides prises depuis l’élection de Macron en 2017.
- Dès son arrivée au pouvoir, Macron met fin à l’état d’urgence instauré au lendemain des attentats de novembre 2015. Mais la loi du 30 octobre 2017 « renforçant la sécurité intérieure » intègre certaines des principales dispositions de l’état d’urgence dans le droit commun. Les assignations à résidence, les perquisitions de jour comme de nuit, la dissolution d’associations et la fermeture des lieux de culte sont maintenant utilisables par les autorités administratives sans l’intervention d’un juge.
- La loi contre les fausses nouvelles « loi relative à la lutte contre les manipulations de l’information en période électorale » (novembre 2018) donne le pouvoir à l’Etat de déterminer le caractère erroné de l’information. La pente vers la propagande d’Etat est ainsi ouverte.
- La loi asile et immigration (10 septembre 2018) présentée par Gérard Collomb « rend les procédures encore plus difficiles pour les plus vulnérables » (propos tenu par la présidente de la Commission nationale consultative des droits de l’homme). Jacques Toubon, défenseur des droits estimait que le demandeur d’asile était maltraité. La contrôleuse générale des lieux de privation de liberté, Adeline Hazan, a fait part de « ses vives inquiétudes pour les droits fondamentaux des personnes étrangères ».
- La loi sur le secret des affaires 30 juillet 2018. Le but officiel : protéger les entreprises des concurrents en leur garantissant des protections plus importantes pour leurs secrets stratégiques. Les conséquences sont désastreuses pour les journalistes et les lanceurs d’alerte qui voudraient dévoiler des manquements importants de la part des entreprises. Selon l’ONG Anticor, à cause d’une définition trop large du secret des affaires, les laboratoires Servier auraient échappé au scandale du Médiator et personne n’aurait entendu parler des « Panama papers », des « Paradise papers », du « Diesel gate » ou de l’affaire UBS.
- La loi anticasseur (2019) a été censurée dans son article principal par le Conseil constitutionnel. Cet article prévoyait la possibilité pour les autorités administratives et non plus judiciaires d’interdire à certaines personnes de manifester sur la base de libellés les plus vagues, de simples présomptions.
- Le Conseil de déontologie journalistique (2019). A ce propos, d’après le journaliste du Point Emmanuel Beretta, Macron a déclaré en février 2019 « Le bien public c’est l’information…Il faut s’assurer qu’elle est neutre, financer des structures qui assurent la neutralité. Il faut que pour cette part- là, la vérification de l’information, il y ait une forme de subvention publique assumée, avec des garants qui soient des journalistes. ». Un conseil de déontologie journalistique a vu le jour et a tenu sa première séance le 2 décembre 2019.Derrière le prétexte de la déontologie, pointe le risque d’un contrôle étatique renforcé qui bride la liberté de la presse.
- La loi Avia contre la haine en ligne (avril 2020). L’absence de garanties juridiques pour juger de la nécessité de retirer de façon expresse les contenus litigieux a amené le Conseil constitutionnel à censurer lourdement cette loi.
- La loi sur la recherche votée définitivement ces jours derniers permettra de museler les mobilisations étudiantes par un délit d’entrave. Le gouvernement dit qu’il ne s’agit que d’empêcher l’intrusion d’éléments extérieurs mais la rédaction du texte n’empêchera pas qu’il soit utilisé contre des étudiants qui occuperaient un amphi ou une faculté. Les peines prévues sont très lourdes : 3ans d’emprisonnement et 45 000 euros d’amende si les faits sont effectués en réunion.
- Il ne s’agit pas d’une loi mais d’une mesure administrative. Le gouvernement profite de la stupéfaction et de l’effroi provoqués par l’assassinat de Samuel Paty pour dissoudre le Collectif contre l’islamophobie en France, association dont la raison d’être consiste à dénoncer et à lutter contre les actes et les discriminations dont les personnes de confession musulmane sont victimes. On peut être en désaccord avec son activité mais cette association ne prêche pas le djihad et n’organise pas d’attentats. Elle n’approuve pas les attentats. Il s’agit d’une atteinte claire à la liberté d’expression et d’association. Cela n’a rien à voir avec la lutte contre le terrorisme.
- La convocation par la DGSI (service de renseignement) de journalistes ayant accompli leur travail de journalistes d’investigation : Ariane Chemin du Monde pour un article sur l’affaire Benalla, 4 journalistes du média d’investigation « Disclose » pour avoir publié un document confidentiel défense révélant que les armes françaises vendues à l’Arabie Saoudite et aux Emirats arabes unis sont utilisées dans la guerre se déroulant au Yémen, Valentine Oberti et 2 autres salariés du média « Quotidien ». L’objectif étant, en contradiction avec la loi qui protège les journalistes, d’obtenir leur source mais aussi de les empêcher de publier de nouveaux documents confidentiels en les menaçant.
Evidemment, n’oublions pas dans cette liste la loi Sécurité globale que l’intervenant précédent vient d’analyser.
Si l’on ajoute à cela une gestion violente des manifestations dont le but est de dissuader les gens de manifester, une institution policière gangrenée par le racisme et multipliant des bavures qui sont devenues systémiques, nous avons un ensemble très inquiétant.
Limiter la liberté d’informer, le droit de manifester, de mener des luttes sociales, cela fait sens. Ce qui se met en place sous nos yeux c’est un capitalisme autoritaire qui s’attaque au socle démocratique républicain.
C’est le pendant du néolibéralisme. Macron s’est attaqué au code du travail (la loi EL Khomri votée sous Hollande lui est apparue insuffisante), aux retraites et aux retraités, aux chômeurs, aux immigrés, aux services publics dans leur ensemble. Il affaiblit la sécurité la Sécurité sociale avec pour objectif de la détruire. Il a mené une politique de redistribution à l’envers, il a pris aux pauvres pour donner aux riches. Il a distribué aux entreprises sans contrepartie ni contrôle des sommes très importantes qui ont enrichi les actionnaires sans ruisseler sur le peuple.
Cette politique au service des actionnaires et des financiers augmente les inégalités et les déséquilibres sociaux.
Dans quelque temps, la sortie de crise sanitaire verra ce pouvoir, au nom de la crise économique, mettre en place des mesures austéritaires violentes qui généreront des contestations. L’Etat autoritaire qui se constitue servira alors à nos dirigeants à museler la protestation.
Le néolibéralisme économique ne se conjugue pas facilement avec les libertés publiques. Souvenons-nous que la première expérience de néolibéralisme dans le monde a eu lieu au Chili, suite à la mise en place de la dictature de Pinochet en 1973.
Nous devons tout faire pour empêcher cette dérive liberticide. Justice et liberté, c’est le sens des combats que nous devons continuer à mener, avec l’espoir de changer enfin le cours des événements. Sans oublier la crise climatique qui est devenue cruciale.
Pas question de négocier la liberté d’informer !
Le 04/03/2021
Le combat contre les lois liberticides continue. Préserver la liberté de la presse en est un aspec central.
Philippe de Vandeuvre, co-président du Club de la presse de Bretagne avait préparé cette intervention pour la manifestaion du 16 janvier.
Il est important aujourd’hui de faire preuve de militantisme et de conviction dans nos actions et jusqu’au retrait de ce la proposition de loi « Sécurité globale ». Le nombre croissant d’opposants à ce texte liberticide est la preuve que l’on ne peut bafouer impunément des droits fondamentaux comme celui d’informer.
C’est la preuve que l’on ne peut empêcher les professionnels de l’information qui sont garants de cette liberté de faire leur métier.
C’est la preuve qu’en France, pays des libertés et des droits de l’Homme, les journalistes ne sauraient être à la botte du pouvoir.
D’autant que ce projet de loi enfin s’inscrit dans la continuité de textes tous plus répressifs et délétères pour la liberté d’informer. Car il ne faut pas oublier que la scandaleuse loi sur le secret des affaires et la non moins lamentable législation sur les infox et autres fake news sont déjà venues restreindre la capacité des journalistes à exercer librement leur métier.
Le gouvernement doit entendre ce message et retirer le projet de loi liberticide qu’il prétend dénommer sécurité globale. Car il est en réalité source d’insécurité pour les journalistes et pour tous les citoyens.
Souvenez vous de Manon, de Rémy ou encore plus récemment de Michel. Tous ont en commun d’avoir pâti d’avoir subi des violences policières. Certes, ces violences sont exceptionnelles. Mais elles existent ! Et le nier seraient nier la réalité !
Nous ne pouvons donc tolérer que l’on nous interdise de pouvoir contrôler ceux à qui nous, citoyens, avons délégué l’usage de la force. C’est une prérogative que nous avons concédé à ceux censés nous protéger. Mais ce n’est pas un blanc seing.
Et vouloir nous interdire d’informer, de vous informer c’est tendre vers l’arbitraire. Car la libre circulation de l’information est garante du bon fonctionnement d’une société démocratique.
Pas question donc de négocier la liberté d’informer !
Sur le dispositif "citoyens référents" un débat approfondi qui ouvre des perspectives.
Le 01/03/2021
Le 16 Février la coordination "Le Monde d'Après" organisait un premier débat en conférence vidéo sur le projet municipal de "citoyens référents". Quarante sept personnes mobilisées à l'appel de la coordination pour la défense des libertés publiques ont participé à trois groupes de travail pour analyser ce qui fonde ce projet de mobilisation des citoyen.ne.s pour sécuriser la ville !
Vous n'avez pu participer au débat et ce projet vous inquiète et vous mobilise, nous avons enregistré et rédigé la synthèse des trois groupes.
La coordination va suivre attentivement la mise en place de ce projet par la municipalité et poursuivra la sensibilisation et la mobilisation citoyenne pour qu'il y soit mis un terme ou pour en limiter les effets néfastes.
La coordination « Le Monde d’après » s’inquiète des lenteurs de la campagne vaccinale à Saint-Malo
Le 26/02/2021
Dans la situation sanitaire présente, la coordination locale "Le Monde d’Après" s’inquiète de la lenteur de la campagne vaccinale dans notre région comme sur le plan national .
Commencée, début janvier dans les établissements de soins puis le 18 janvier au Centre du Naye, la vaccination n’avait touché au 14 février que 6.664 personnes, dont seulement 1517 avaient reçu le nombre complet de doses. Le centre du Naye ne disposait que de 300 doses par semaine. Sachant que dans le bassin de Saint-Malo le nombre des personnes âgées de plus de 75 ans est de l’ordre de 20.000, on mesure que le rythme de la campagne vaccinale est très insuffisant et que la protection des personnes volontaires les plus exposées aux formes graves de la Covid-19 ne pourra être acquise que dans plusieurs mois. Quant aux autres personnes, l’horizon reste très lointain.
On nous annonce que le centre du Naye va disposer à partir du 1er mars de 800 doses par semaine ainsi que des disponibilités en vaccin Astra Zénéca, dont l'administration est connue, par ailleurs, pour avoir généré des effets secondaires significatifs. L'évolution annoncée est certes appréciable. Il n'en demeure pas moins que la coordination locale entend reprendre à son com^te les initiatives de centaines d'associations, d'organisations syndicales, sociales et politiques, nationales et européennes.
A PROPOS DU PROJET DE RE-ORGANISATION HOSPITALIERE DU TERRITOIRE SAINT-MALO - DINAN
Le 24/02/2021
Ainsi donc, le directeur de l’Agence Régionale de Santé, le directeur du Groupement Hospitalier de Territoire (hôpitaux publics de Saint-Malo, Dinan et Cancale), les maires de ces trois communes et les médecins président.es des Commissions médicales viennent de signer une lettre de cadrage, décrivant le futur de l’organisation hospitalière de notre région. Cette signature a fait l’objet d’un certain battage médiatique. Pour autant, le contenu de la lettre de cadrage n’a pas été rendu public de même d’ailleurs que l’étude du cabinet Rossetti (M Santé Conseil) sur laquelle il s’appuie. Dans ces conditions de relative opacité, on est contraint de raisonner avec prudence par rapport à cette annonce et sur la base de la communication officielle.
Deux orientations majeures
Vidéo débat sur le dispositif "citoyen référent", inscrivez-vous.
Le 14/02/2021
La coordination "Le Monde d'Après" organise un premier débat en conférence vidéo, Mardi 16 Février à partir de 18 h 30, sur le projet municipal de "citoyens référents". Pour participer s'inscrire par mail avant lundi soir à l'adresse construisonslapres@gmail.com.